Organisation Syndicale Multi-Catégorielle

CPOS: “Il faut sauver le gradé PCI”

Les gradés PCI sont en danger au CPOS !

En effet, en semaine, ils doivent « GERER » les problématiques d’effectif avec un manque de collaboration de certains collègues de bâtiment et une pression de la hiérarchie qui ne mesure pas leurs souffrances.

La nuit, ils font face à une augmentation constante de leur charge de travail avec de plus en plus de responsabilités.

Ils semblent avoir le don d’ubiquité le week-end, particulièrement le samedi, puisqu’ils doivent être en même temps au greffe, au QI/QD, au parloir, à la MAF, au PCI…. Par exemple, le samedi 10 septembre 2022, le gradé PCI de service devait « GERER » : 6 libérables, 2 PS, 3 Mise en place UVF, 2 sortie QD dont un passage au QI en gestion équipée et menottée, les mouvements 2+1 de la MAF, les repas QI/QD et MAF, la gestion des parloirs et sans oublier des potentiels arrivants en plus de ses tâches au PCI.

LA SITUATION DES GRADES PCI EST INACCEPTABLE !

Exerçant dans une administration qui qualifie d’inattention l’activité d’un agent qui doit être présent partout à la fois ou en plusieurs lieux en même temps, comment la suractivité de ces professionnels consciencieux serait-elle qualifiée en cas d’incident ? Leur remettra-t-on une demande d’explications sans état d’âme ?

Demandera-t-on sans vergogne une poursuite devant les instances disciplinaires ?

Les gradés PCI sont EREINTES. Plusieurs d’entre-deux souhaitent même QUITTER cette fonction !

Le bureau local UFAP-UNSa Justice demande à la direction de considérer la souffrance des gradés PCI en DANGER.

Le bureau local UFAP-UNSa Justice demande à la direction la mise en œuvre de solutions concrètes et immédiates pour sauver nos collègues.

LE BUREAU LOCAL

Partager :

À voir aussi
Nationale

NON AU BASHING ANTI-FONCTIONNAIRES !

Pantin, le 21  Novembre 2024 Le ministre de la fonction publique a décidé que pour écoper le déficit budgétaire abyssal de l’Etat français il était

Régionale
Cliquez-ici pour modifier vos préférences en matière de cookies