Dans notre bel Etablissement « flambant neuf » où tout allait pourtant bien selon certains, la réalité rattrape désormais la fiction ! Il est inacceptable de se rendre compte que, près d’un an après avoir été dénoncé par le bureau local et nos régionaux, les fenêtres des cellules (démontables sans outils particuliers) continuent de tomber à un rythme effréné !

On en dénombre pas moins de 200 cette semaine !!

Alors que plusieurs solutions semblent s’offrir à nous pour sécuriser les fenêtres, le temps passe et les « tutos » de démontage tournent en boucle sur « TikTok » et rien ne bouge.

Nos dirigeants ont-ils déjà oublié que certaines fenêtres de cet établissement n’ont pas de barreaux… ?

Le bureau local, source de propositions, a ainsi étudié l’idée et la faisabilité de retourner les fenêtres en mettant les parcloses à l’extérieur.

Réponse : TROP CHER !!!???

Après nous avoir fait le coup du scotch bleu, voilà désormais le coup de la colle qui se profile à l’horizon …

Ben voyons ! L’UFAP UNSa Justice ne s’en satisfera pas !

Gageons que d’autres constructions d’établissement et notamment Troyes-Lavau ne fassent pas les frais des mêmes vices de construction !!

Il est ici question de la sécurité des Personnels et de la sécurité publique dont la direction est responsable, y compris pénalement ! Nous exigeons plus qu’un pansement sur une jambe de bois !

Le bureau local UFAP UNSa Justice exige que les vandales qui démolissent et cassent volontairement soient enfin poursuivis à la hauteur des frais réellement engagés et non en fonction des tarifs qui sont dignes de « WISH » et qui font pâlir toute concurrence à des milliers de kilomètres à la ronde !

L’UFAP UNSa Justice demande que les sanctions relatives à ce type de destruction soient également appliquées, car démonter une fenêtre sans barreau, c’est se donner un accès facilité à une zone interdite pour récupérer un parachutage, une livraison par drone, ou aider à préparer une évasion …

Le bureau local