Après l’arrêt de l’expérimentation, revoilà le logiciel PRISME pour toute la région GRAND-EST !!!
Comme si l’usure des agents de THIONVILLE face aux nombreux dysfonctionnements de ce logiciel n’avait pas suffit à nous convaincre qu’il n’était pas encore prêt a étre déployé !
La décision de relancer le déploiement a quand même été ordonnée.
L’équipe PRISME a accompagné les agents une seule journée par site, et les améliorations demandées ont souvent reçu en réponse : ce ne sont pas des améliorations mais du confort !
Après 3 semaines , le constat est toujours le même :
- Des écrits qui disparaissent.
- Des anomalies qui surviennent un jour et disparraissent pour réapparraitre 2 jours plus tard.
- Des trames inutilisables (enquête..) ou inéxistantes (rapport LSC…)
- Des plannings impossible à lire sans cliquer sur le jour, l’heure pour voir qui est convoqué
- TIG 360 qui ne fonctionne pas
- Les éditions de documents qui dysfonctionnent
- La trame des convocations qui n’est pas au format lettre , les agents doivent remettre en page chaque convocation éditée.
- Impossiblité de rattacher un entretien initial à la mesure de la PPSMJ
- Des alertes sur des rapports de fin de mesures a effectuer, alors que la PPSMJ n’est plus suivie par l’agent depuis plusieurs années.
- …….
Et pour régler ça, une procédure fastidieuse pour générer des tickets informatiques (URL, imp écran, relance par Paris pour donner des renseignements…), ce qui incite les CPIP à ne pas faire ces tickets au vue de leur charge de travail et de ce que cela génére en plus .
Les mêmes tickets, qui dès lors que l’agent ne donne pas l’URL ou l’imprime écran dans les deux jours sont cloturés directement par Paris…
Les conditions de travail depuis l’arrivée de PRISME se sont encore dégradées et le stress est de surcroit à son apogée dès lors qu’à l’ouverture de PRISME, on espère pouvoir lire les écrits de la veille… Chaque jour nous livre son lot de surprises et de nouveaux dysfonctionnements.
Comment est-il possible de travailler dans de telles conditions de stress permanent ?
L’UFAP UNSa Justice souligne le professionalisme de nos collègues CPIP qui continuent de travailler en faisant de leur mieux dès lors que les rapports demandés par le JAP n’existent pas dans le logiciel ou sont perdus.
L’UFAP UNSa Justice demande que les conditions de travail des agents qui utilisent PRISME progressent sensiblement et rapidement, notamment en prenant en compte les nombreuses requêtes pour l’amélioration réel de ce logiciel.
Laurent LEGROS
Le secrétaire local.